Main background

Hommage aux victimes du 13 novembre



"Hommage aux victimes des attentats du 13 novembre"
Bombe aérosol, impression encre sur papier collé et déchiré, rehaussé d’acrylique
2015
3 m. x 7 m.
Rue Alibert, Paris

Bleu, blanc, rouge… ce sont les trois couleurs du drapeau français brandi par la figure allégorique de la Liberté qui servent de trame de fond à Jo di Bona qui a choisi de scander son œuvre dans une mise en abyme du drapeau tricolore. Dans ce triptyque dynamique, les personnages se répartissent en découpant leurs silhouettes noires et blanches tramées sur les trois bandes colorées.

C’est la technique de l’artiste, faite de papiers collés sur fond de couleur puis déchirés pour libérer cette couleur, qui donne toute son énergie à l’œuvre accentuant le mouvement original et l’amplifiant d’un effet vibratoire.

Dans cette composition centrifuge de cercles concentriques, les lignes courbes tracées par les déchirures se déploient comme autant d’ondes à partir d’une source d’émission centrale, ici la figure de la Liberté. Métaphoriques, ces lambeaux de papier sont aussi les blessures que notre œil cherche à panser en reconstituant toutes les pièces du tableau. Comme on chercherait à rétablir l’unité nationale après les attentats terroristes qui visaient à l’éclater.

Cyrille Gouyette

"Hommage aux victimes des attentats du 13 novembre"
Bombe aérosol, impression encre sur papier collé et déchiré, rehaussé d’acrylique
2015
3 m. x 7 m.
Rue Alibert, Paris

Bleu, blanc, rouge… ce sont les trois couleurs du drapeau français brandi par la figure allégorique de la Liberté qui servent de trame de fond à Jo di Bona qui a choisi de scander son œuvre dans une mise en abyme du drapeau tricolore. Dans ce triptyque dynamique, les personnages se répartissent en découpant leurs silhouettes noires et blanches tramées sur les trois bandes colorées.

C’est la technique de l’artiste, faite de papiers collés sur fond de couleur puis déchirés pour libérer cette couleur, qui donne toute son énergie à l’œuvre accentuant le mouvement original et l’amplifiant d’un effet vibratoire.

Dans cette composition centrifuge de cercles concentriques, les lignes courbes tracées par les déchirures se déploient comme autant d’ondes à partir d’une source d’émission centrale, ici la figure de la Liberté. Métaphoriques, ces lambeaux de papier sont aussi les blessures que notre œil cherche à panser en reconstituant toutes les pièces du tableau. Comme on chercherait à rétablir l’unité nationale après les attentats terroristes qui visaient à l’éclater.

Cyrille Gouyette

Voir plus ▼