Artiste aux multiples talents, Gwendoline Finaz de Villaine est à la fois écrivaine, chanteuse-compositrice et artiste-peintre. Cette pluridisciplinarité artistique est tout d’abord le fruit d’une éducation valorisant la créativité puis d’un parcours d’exception, de Sciences PO Paris à HEC, en passant par la Maîtrise de Radio France.
Si un grand nombre de prestations scéniques aux Folies Bergères, au Zénith et sur M6 ainsi que la parution de la trilogie « Les Brumes de Grandville » et du roman « De Poudre, de Cendre et d’Or » ont permis de révéler l’artiste, c’est dans la peinture que Gwendoline parvient à s’émanciper. Autodidacte, l’artiste-peintre invente une technique à l’encre de Chine, à mi-chemin entre le graffiti et la calligraphie, qu’elle nomme « encre caviar ». Cette forme d’expression intime, devenue la marque de fabrique de Gwendoline, s’inspire des mouvements Cubistes et Surréalistes, des artistes Man Ray et Akinori Haga, de l’Art africain, et des années 1920, tout en conservant son originalité en s’imprégnant du parcours musical et littéraire de l’artiste.
Convaincue que l’hyper-créativité ne connait aucune limite, Gwendoline a multiplié les projets hors-normes en s’essayant à l’Art Urbain au cours des deux dernières années. L’artiste a érigé la fresque monumentale « Hold On ! » sur le mur de l’université Sorbonne en collaboration avec l’association Arsso qui lutte contre la précarité étudiante. Elle a été sélectionnée pour peindre une cuve de 3,5m de hauteur conçue par Philippe Starck dans le chai des Carmes Haut-Brion. Gwendoline a également réalisé le triptyque « Les Ailes d’HEC » pour les 140 ans du campus et revient enfin pour un projet des plus ambitieux rendant hommage à Josephine Baker.
Elle est aujourd’hui représentée par la Ellia Art Gallery à Paris.
Artiste aux multiples talents, Gwendoline Finaz de Villaine est à la fois écrivaine, chanteuse-compositrice et artiste-peintre. Cette pluridisciplinarité artistique est tout d’abord le fruit d’une éducation valorisant la créativité puis d’un parcours d’exception, de Sciences PO Paris à HEC, en passant par la Maîtrise de Radio France.
Si un grand nombre de prestations scéniques aux Folies Bergères, au Zénith et sur M6 ainsi que la parution de la trilogie « Les Brumes de Grandville » et du roman « De Poudre, de Cendre et d’Or » ont permis de révéler l’artiste, c’est dans la peinture que Gwendoline parvient à s’émanciper. Autodidacte, l’artiste-peintre invente une technique à l’encre de Chine, à mi-chemin entre le graffiti et la calligraphie, qu’elle nomme « encre caviar ». Cette forme d’expression intime, devenue la marque de fabrique de Gwendoline, s’inspire des mouvements Cubistes et Surréalistes, des artistes Man Ray et Akinori Haga, de l’Art africain, et des années 1920, tout en conservant son originalité en s’imprégnant du parcours musical et littéraire de l’artiste.
Convaincue que l’hyper-créativité ne connait aucune limite, Gwendoline a multiplié les projets hors-normes en s’essayant à l’Art Urbain au cours des deux dernières années. L’artiste a érigé la fresque monumentale « Hold On ! » sur le mur de l’université Sorbonne en collaboration avec l’association Arsso qui lutte contre la précarité étudiante. Elle a été sélectionnée pour peindre une cuve de 3,5m de hauteur conçue par Philippe Starck dans le chai des Carmes Haut-Brion. Gwendoline a également réalisé le triptyque « Les Ailes d’HEC » pour les 140 ans du campus et revient enfin pour un projet des plus ambitieux rendant hommage à Josephine Baker.
Elle est aujourd’hui représentée par la Ellia Art Gallery à Paris.